Hommage à Nicolas Sarkozy

un léger décalage...

Billet

Dans quelques années, quel regard portera-t-on sur l’action politique de l’actuel président de la République, notamment sur ses mesures et ses propositions pour sortir de l’actuelle crise ? Dans ce court billet, nos experts apportent quelques éléments de réponse.

Il y a trente ans, cette statue coulée dans le bronze, œuvre remarquable d’outre-tombe du sculpteur César qui faute de moyens ne put la compresser, aux dimensions aussi impressionnantes que l’œuvre de notre grand homme, soit 168 mètres de hauteur, fut inaugurée devant l’Assemblée nationale en présence de notre président à vie de la République laïque positive et du pape Benoît XVI qui la baptisa.

Elle fut offerte par les travailleuses et les travailleurs en hommage à l’œuvre en cours de notre grand guide bien-aimé. Depuis, tous les 7 mai, jour de fête nationale, des défilés de jeunes populaires déposent dans la liesse populaire une gerbe de fleurs pour encourager le plus grand génie, éducateur et chef de l’humanité, l’ami sincère du peuple, à poursuivre son indispensable mission !

L’humble fils d’immigrés est devenu par son génie le chef incontesté et vénéré de 95 millions de Français. Sous sa présidence, l’immense France est devenue la plus grande puissance économique, politique, militaire et intellectuelle dont l’influence a gagné tous les continents entiers.

Nicolas Sarkozy restera dans l’Histoire sans doute l’homme qui a réconcilié la France révolutionnaire et le grand patronat, le prolétariat et le grand capital au point de les rendre inséparables.

A chaque initiative de notre président, le monde entier retient son souffle.

Nous ne résistons pas à citer le ministre d’Etat du Travail, Xavier Bertrand :

   "Chaque jour, il permet à l’homme de remporter sur la nature et sur les spéculateurs quelques-unes de ses plus magnifiques victoires. L’Histoire retient d’ores et déjà, la fin des parachutes dorés et du réchauffement climatique grâce à sa clairvoyance et à son volontarisme politique hors du commun."

La véritable politique sarkozyste a commencé avec la décision du grand Sarkozy de lancer l’industrialisation en octobre 2008. Il était possible de remettre de cinq ou sept ans le développement accéléré de l’industrie lourde et spatiale, comme le suggéraient les deux François, Bayrou et Hollande. Mais le guide a donné au peuple du travail et du pouvoir d’achat, le libérant des carcans administratifs et bureaucratiques afin qu’il puisse profiter d’une journée de travail supplémentaire, le dimanche.

Sarkozy a préparé la défense de l’économie en construisant plus de 169 000 entreprises industrielles et informatiques entre 2008 et 2020 et en prenant la décision stratégique d’implanter à Neuilly des camps de rétention. A propos de la politique d’immigration, Brice Hortefeux, le fidèle compagnon des années les plus noires sous Chirac et désormais des plus glorieuses, rend hommage à la sagesse et à la clairvoyance du guide :

   "les résolutions de la crise économique et du problème des sans-papiers placent Nicolas Sarkozy sur la plus haute marche de l’Histoire."

Depuis plus de trente ans, Nicolas Sarkozy prend soin de chacun d’entre nous !

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En 2008, dans presque tous les domaines de la production, il a fallu commencer à zéro. Pendant les années du premier et du deuxième plan quinquennal, le Parti avait prévu pour les industries numériques un taux de croissance supérieur à celui des autres branches de l’industrie.

La production annuelle de disques de Carla Bruni, la muse et la poétesse de la nation était de 200 000 unités en 2008. Elle est aujourd’hui en 2038 monté à 30 millions unités, ainsi chaque ménage possède les produits culturels de base. Pour la même période, la construction de talonnettes a augmenté de 123 860 à 8 655 500 unités par an.

Ainsi, Dassault, le ministre d’Etat à la Démocratie et aux Libertés publiques, reconnu internationalement pour son franc parler, a dit :

   "Le développement de l’instruction générale, de l’enseignement technique et celui de la culture fécondent incontestablement l’action du président à vie. Il est le phare suprême qui guide notre peuple."

Au cours du troisième plan quinquennal, entre 2018 et 2023, la production de l’industrie a augmenté de 13 % par an, mais la production de l’industrie numérique de 30 % par an. Avec une croissance moyenne de 19 %, les déficits budgétaires qui grevaient l’action des prédécesseurs de notre président à vie, ont été comblés. Les réserves budgétaires de la France sont si importantes que les cheminées des centrales nucléaires désaffectées ont été recyclées et contiennent les réserves d’or, de matières précieuses, et toutes les devises étrangères.

propagandesarkozy.jpgL’espérance de vie a bondi ! L’âge moyen est de 130 ans pour les femmes et de 110 pour les hommes. La délinquance a été complètement éradiquée. Le taux de natalité a également fait un grand bond en avant puisqu’il est de 6,5 enfants par femme.

Depuis 2009, à la moindre incartade au collège, le citoyen de 13 ans est embastillé pour cinq ans. La récidive est synonyme d’emprisonnement à perpétuité. La France compte 6 millions de prisonniers à vie qui produisent 25 % de l’énergie électrique. Dans un souci d’éducation et de productivité, avec l’autorisation du guide, notre ministre de la Justice, Rachida Dati, a fait installer dans les salles de production des écrans géants qui retransmettent en direct et en alternance les discours officiels et les meilleurs extraits du Dernier Métro.

François Copé, le président à vie du groupe parlementaire du parti a illustré le bilan par ces quelques mots :

   "Certains parlent de miracle. Sans doute, est-ce un miracle d’avoir un tel commandant en chef ! Nicolas Sarkozy fournit un travail considérable en s’occupant lui-même des entreprises travaillant pour l’informatique et les talonnettes. Il connaît bien des dizaines de directeurs d’usine, d’organisateurs du parti, d’ingénieurs principaux, les voyant souvent et obtenant, par la persévérance qui le caractérise, le dépassement des plans prévus."

De son côté, le ministre d’Etat de l’Education, Xavier Darcos, fait le point dans son secteur :

   "Il y a actuellement 15 millions et demi d’étudiants dans les universités et les établissements d’enseignement supérieur. Rien qu’à Paris, il y en a 6 millions dans les 10 002 instituts de recherche. Rien qu’en 2024, il est sorti 500 026 ingénieurs des hautes écoles. Ces chiffres sur l’enseignement ne prennent toute leur valeur que pour qui se souvient du passé. La politique dictée par le guide dépasse nos rêves les plus fous. L’ouvrier type qui pilote sa machine outil est un intellectuel accompli qui est titulaire d’au moins deux doctorats en sarkozysme, théorique et pratique."

L’opposition a presque disparu. En politique, les injures cachent, fréquemment, l’absence d’idées et l’impuissance totale, l’impuissance hargneuse des insulteurs. Il y a bien longtemps qu’ils ne critiquent plus l’action du président à vie de la République laïque positive, mais la soutiennent. N’est-ce pas Roger Karoutchi, le ministre d’Etat au Parlement, qui a coutume de dire en entendant certaines réserves sur la politique de notre guide :

   "Il arrive parfois que les aigles volent plus bas que les poules, mais les poules ne parviendront jamais à s’élever à la hauteur des aigles !"

Sarkozy est la France, ses plaines, ses montagnes, ses fleuves, ses océans, son peuple chéri, son génie national, et pourtant comme a coutume de le dire notre ministre d’Etat à la Probité, Patrick Balkany :

   "La simplicité naturelle de Nicolas Sarkozy, son désintéressement absolu des conditions de vie personnelle, sa fermeté intérieure, son éducation déjà remarquable lui donnent de l’autorité, attirent et retiennent l’attention autour de lui. Les ouvriers l’appellent : notre père. Cette sorte de génie de se mettre au niveau des auditeurs, c’est la raison profonde de la confiance que cet homme suscite dans les foules, et du rôle qu’il lui a été donné d’accomplir."

Ne nous y trompons pas d’ailleurs : se mettre au niveau ne signifie pas s’abaisser, se rapetisser, ou user d’une familiarité amorphe. Loin de là, François Fillon, fidèle collaborateur et Premier ministre de Nicolas Sarkozy président à vie de la République laïque positive donne cette définition nette :

   "Il n’est ni schématique, ni vulgaire. Son pouvoir, c’est son formidable bon sens, l’étendue de ses connaissances, son étonnant rangement intérieur, sa passion de netteté, son inexorable esprit de suite, la rapidité, la sûreté, et l’intensité de sa décision, sa perpétuelle hantise de choisir les hommes qu’il faut."

D’ailleurs, Valérie Pécresse, la ministre d’Etat à la Culture, Nadine Morano, peu suspecte de sarkozysme, confirme :

   "Il sait ne sait pas aller trop vite. Il sait peser le moment. C’est là la qualité spécifique du guide, celle qui lui appartient en propre, en plus des autres : attendre, temporiser, résister aux tentations entraîneuses, avoir une patience terrible. N’est-ce pas ce pouvoir qui fait que de tous les chefs de l’Etat de l’Histoire, c’est Nicolas Sarkozy qui a le plus enrichi pratiquement la France et l’humanité, en ne commentant aucune faute ?"

Le ministre de gauche et d’opposition, l’impétueux et indépendant Bernard Kouchner est bien obligé de le reconnaître :

   "J’ai été antisarkoyste primaire. Mais maintenant que je peux survoler le siècle, Nicolas Sarkozy est la plus grande personnalité de notre siècle, le plus grand génie politique."

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Ses compères socialo-communistes Jean-Marie Bockel, ministre d’Etat des Nouvelles Technologie de l’information et du savoir, et Besson, ministre délégué auprès du ministre d’Etat aux Talonnettes abondent :

   "Sarkozy possède une énorme intelligence naturelle, mais aussi des connaissances étonnamment vastes. J’ai l’occasion d’observer sa capacité de pensée analytique durant les conseils des ministres. Il écoute attentivement ceux qui prennent la parole, pose parfois des questions, donne des répliques. Et, la discussion terminée, il en formule nettement les conclusions, fait le bilan."

Hervé Morin, le ministre d’Etat du Centre confirme :

   "Son étonnante capacité de travail, son aptitude à saisir rapidement un sujet lui permettent d’étudier et d’assimiler en un jour une quantité de faits des plus variés, ce qui exige des capacités exceptionnelles. Sans elles, nous serions toujours empêtrés dans le trou de la sécu et le krach de 2008."

Nous terminons ce bref hommage critique en félicitant Monsieur le président à vie de la République laïque positive pour son prix Nobel de la paix, toutes catégories confondues, pour l’ensemble de son œuvre émancipatrice.