Un samedi de décembre vers 13-14 heures
A la radio, Monsieur Libéral se réjouissait
J'écoutais ensuite deux émissions
L'une sur Paul Aussaresses
Et la suivante sur Madiba
Puis, j'entendis le jingle de la météo
Un temps de saison disait la voix
Ensuite, le chaos
Un nuage de poussière
Je ne me souviens pas
Je repris conscience
Je n'avais plus aucune notion de l'heure
Des flashs
Des images bizarres
Oniriques
Cauchemardesques
Fantasmagoriques
Des symboles
Des messages
Des tags
Des circuits
Basiques
Absurdes me hantaient
Les murs montraient leurs dents
Je n'osais regarder derrière
Et un masque m'observaient
J'hallucinais
Dans les méandres
De mon cerveau
Une voix
Psalmodiait
Aie confiance
Laisse-toi
Aller
Suis la lumière
Ne t'égare pas
Dans l'obscurité
Dans la mer du nord
Dans les vaines pâtures
Besoin de briller
Dans tes yeux !
Commentaires
C'est alors que tu as appelé le plâtrier. Il ne pouvait pas venir le samedi même parce que sa fille manifestait pour un concours de beauté. Il a donc dû venir travailler le dimanche.
Que vois-je ? Avant, il fallait connaître les chiffres, maintenant il faut apprendre l'alphabet !
Cet opus c'est carrément l'apocalypse ! Pour la rénov' je crois que le devis du plâtrier va être salé !
Oui, j'ai plutôt intérêt à faire faire quelques devis et commencer les travaux avant la hausse de la TVA...
Purée ! C'était pas comme ça chez toi quand tu m'as hébergé. Je me souviendrais. Ou bien alors c'est que Al Zheimer, le vent d'Arabie qui rend fou, est venu souffler dans ma tête.
Glarps ! Tu habites donc bien avenue Foch..................
En effet Hubert.
Mauvaise déduction Babelouest
impressionnant, merci beaucoup Pas Perdus.
Merci de ta visite