Je les croise depuis 2009, quasiment quotidiennement. Parfois photographiés et publiés, bien que la dernière fois remonte à trois ans, si je n'inclus pas une page consacrée à Codex Urbanus. Des visages d'hommes surtout et de femmes moulés, sculptés, peinturlurés, gribouillés, érodés, cassés, brisés... Mais, toujours présents sur les murs de Paris.
Commentaires
Tu t'aventures jusque dans le 19e !?
Au tout début, on reconnaît bien la tête (coupée) de Jean (le Baptiste) devant la terrasse au nom dudit.
Sérieusement. Je n'ai pas autorité pour parler de l'art post-duchampien, mais là, aujourd'hui, il y a des artistes autrement extraordinaires que ceux qui sont sur le marché du chic et du kitsch.
Je suis téméraire... Je n'ai pas non plus autorité, mais certains artistes du "marché" font des "oeuvres" qui valent surtout grâce à un discours fumeux.