"Tout ce qui divise la gauche favorise le maintien au pouvoir de la droite."
Benoit Hamon ne croyait pas si bien dire le 19 novembre dernier quand Le Monde lui demandait pourquoi il restait au parti socialiste.
Depuis Reims jusqu'à la fameuse comédie de la désignation de la 1ère secrétaire, preuve est faite que le PS est durablement balkanisé.