mardi 12 octobre 2010
Ce mardi 12 octobre 2012, d'après les chiffres officiels de l'indépendant institut DPP, les manifestants étaient donc une petite trentaine de millions de citoyen-ne-s dans les rues, sans compter les expatriés....
A part, le Front National, le Nouveau centre, l'UMP, le Medef, et les exilés fiscaux, c'est toute la France populaire qui s'oppose à TINA et au projet gouvernemental de revanche sociale sur les retraites !
Ce matin, le pouvoir de droite tente de relativiser le présent mouvement en le comparant à la mobilisation contre la réforme Fillon. Nos mathématiciens de droite comparent le nombre de journées de mobilisation, de manifestants, et s'ils le pouvaient, la température extérieure et les sandwichs merguez consommés en 2003 pour démontrer que tout va très bien en sarkozie !
La droite joue le pourrissement du mouvement et un retournement de l'opinion publique contre les grévistes ! Les manifs et les grèves sont autant de grains de sable qui grippent la machine inégalitaire... Mais, les médias dominants répètent en boucle les arguments catastrophistes du gouvernement pour justifier cette réforme.
Aussi, nous publions une copie d'un excellent document réalisé par la CGT du Puy-de-Dome qui rappelle certaines réalités. Il ne fait aucun doute qu'une autre réforme des retraites est possible.
lundi 11 octobre 2010
A l'instar des échos de la gauchosphère, de Bibi, de Cuicui et de ruminances, nous relayons l'appel à la blogosphère de Stef d'une autre vie :
«Messieurs, Dames de la blogosphère, il est temps de sortir l'arsenal numérique, le billet qui fait mouche, ceci est un appel au militant de l'internet qui sommeille en vous.»
mercredi 22 septembre 2010
Après les illustres blogueurs Nicolas, l'Iconoclate, le coucou des claviers, le Grumeau, Sarkofrance, voie militante, Melclalex , Polluxe, Falconhill, et Engagée, nous répondons à l'invitation de Stef en donnant les 5 raisons qui perdront (peut-être) Sarkozy.
lundi 13 septembre 2010
Nul autre ministre et premier ministre que François Fillon n'a mené d'aussi importantes réformes de régression sociale, et pourtant les médias dominants continuent à le présenter en leader de la droite sociale.
Un animal politique redoutable qui partage avec Hortefeux, Besson et Sarko la responsabilité de la politique sécuritaire et identitaire en faisant mine de ne pas y toucher, et dont la côte de popularité dépasse celle d'un Sarkozy à bout de souffle.
Aussi, quand Fillon pointe les ambiguïtés du PS sur les retraites, tous courants confondus, il y a lieu de ne pas prendre avec légèreté ses propos...