avis

A titre liminaire, précisons les trois points suivants :

D'abord, je condamne sans ambiguïté les massacres du 7 octobre dernier. Et, je regrette que le gouvernement israélien, d'une part, ait diffusé des fakenews sur des bébés assassinés et des viols de masse, depuis démentis par les télévisions israéliennes, et, d'autre part, refuse de faire toute la lumière sur ces faits en interdisant une enquête internationale.

Ensuite, j'estime que la critique de la politique d'un gouvernement conduisant les affaires de son pays est légitime. Que ce pays soit Israël ou un autre. J'ajoute que je ne conteste pas le droit à l'existence d'Israël. Par conséquent, toute attaque me déguisant en antisémite sera dénuée de tout fondement. L'antisémitisme comme l'islamophobie est un racisme et, à ce titre, il systématise des personnes en raison de leurs origines, leurs ethnies et leurs religions afin de les dénigrer, les transformer en boucs émissaires et justifier les pires actes contre eux. Point de ça en ces lieux, dans ce billet et ceux qui ont été publiés depuis 2005.

Enfin, le massacre de civils, femmes, enfants, vieillards et hommes, est injustifiable qu'il soit commis par le Hamas ou par l'armée israélienne. Rien ne justifie la mort de civils. Une victime civile est une victime civile, qu'elle soit directement visée, ou blessée ou tuée par voies collatérales.

Depuis qu'Emmanuel Macron a été élu à la présidence de la République, nous vivons un cauchemar. Ou des cauchemars à l'instar d'une série sans fin dont les saisons ne cessent de s'enchainer et rappellent de plus anciennes en noir et blanc.