Dans le 1er cité et dans celui-ci, il dévoile l'autre face du miracle allemand...
Cette société faussement harmonieuse qui après s'être unie contre l'ennemi juif, se rassemble contre le communisme. Ces anciens nazis convaincus (anonymes ou non) qui après le renversement du nazisme sont devenus des démocrates non moins convaincus.
Ici, le narrateur est un clown déchu qui a perdu celle qu'il aimait... Sans argent, il retourne dans sa ville et renoue contact avec ses anciennes connaissances..
C'est l'occasion pour Böll de dresser un portrait au vitriol de la bourgeoisie catholique et de dénoncer l'hypocrisie générale...