l'imagination au pouvoir ?

un léger décalage...

Billet

Entre Bastille et Léon Blum, que de mondes traversés dans des rues transversales où l'on croit parfois entendre l'écho des révoltes brisées.

Dans la grisaille automnale, nos pas perdus lurent cette citation ci-dessous sur les murs d'un estaminet, sans doute apposée par des militants de l'ultra gauche anarcho-autonome rêvant d'un autre monde...

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Probablement, n'ont-ils retenu que la période où le moustachu jouait aux cadavres exquis avec ses amis révolutionnaires...

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Plus tard, notre peintre se vautra dans la gloire et le déshonneur en compagnie d'un dictateur à la morale trop catholique... et aux mains pleines du sang de ses victimes.

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Mais, nous ne sommes pas ici pour causer histoire, politique ou religions, mais seulement regarder ce que les artistes des rues, parfois anonymes, proposent... comme ici rue Sedaine.

Commentaires

1. Le mercredi 26 novembre 2008, 06:03 par patrick

je crois qu'il ne faut jamais oublier que l'art est compatible avec les esprits les plus ignomineux, Dali en est un exemple et Clara Bruni le serait aussi si....si elle était artiste.

2. Le mercredi 26 novembre 2008, 06:04 par patrick

ignominieux, vous aurez rectifié.

3. Le mercredi 26 novembre 2008, 06:35 par pas perdus

oui oui... Tu vas loin dans la comparaison. Je parlerai plutôt d'un opportunisme qui peut aller jusqu'à l'ignominie.