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Sarkozy nous a semblé un peu en dedans, autant dire en très petite forme, ailleurs, comme coupé de la réalité du peuple et du monde.

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Sans convaincre, Sarkozy a récité la leçon apprise auprès de ses experts en communication. Comme d'habitude, il a repissé dans un violon pour se victimiser, il a menti comme un arracheur de dents, défendu sa politique injuste et inefficace, et soutenu le ministre Woerth !

Un peu comme l'ex number one, nous en sommes ressortis avec une impression négative, tant sur notre grand dirigeant, le président Sarkozy, que sur notre immense journaliste, Pujadas le courageux combattant contre la bien-pensance et le journalisme des bons sentiments ! !

Une impression de déjà vu, déjà entendu, tant Pujadas a été fade, mais pouvait-on attendre d'un type - qui a été formaté à LCI et TF1 - autre chose que du journalisme couché, de la complaisance, des silences gênés, des questions convenues, une certaine connivence ?

Karachi, ça te dit quelque chose Pujadas ?

Comment qualifie-t-on un régime dont le chef de l'État choisit discrétionnairement le média et l'unique "journaliste" qui l'interviewera ? Une démocratie ?