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L'article du Parisien précise également :

«Les syndicats et leur conseil s’insurgent par ailleurs de voir régulièrement violé l’arrêté préfectoral de 1990 qui prévoit un jour de fermeture, destiné notamment à réguler la concurrence dans le secteur alimentaire.»

Il semblerait que certains gérants agissent comme des seigneurs, ne respectant ni les horaires légaux de fermeture le dimanche, ni le repos hebdomadaire obligatoire de leurs salariés :

«Pour les employés, c’est catastrophique : ils ne touchent pas de prime spécifique et doivent renoncer à leur vie de famille. »

Aussi, la loi et la justice doivent protéger le faible, c'est-à-dire le salarié, sinon c'est la loi de la jungle patronale. Espérons que le juge condamnera ces délinquants à payer des amendes et des astreintes suffisamment lourdes et exemplaires pour les dissuader de récidiver.