Toujours est-il que les passants ne profitent plus de l'ombre des noyers.
Je crois savoir que mon correspondant spécial, Lou de Libellus, possède quelques images de cette lointaine époque dans ses volumineuses et précieuses archives.
A toi de jouer Kamarad !
Nous n'avons pas récolté des noix mais de nombreuses images de street art comme on dit communément.
De l'art rue ou de la rue, au choix.
Une moisson trop importante de clichés pour un seul billet.
J'ai sélectionné celles où les artistes ont rassemblé
Accumulé
Collé
Des images
Des carreaux
Et surtout diverses babioles
Plus ou moins symboliques, la plupart banales
Des objets courants
Soit autant en apporte la société d'hyperconsommation
Soit autant de choses récupérées
Sauvées des poubelles
Transformées en icônes
En sortant de la rue Denoyer, on n'ose se retourner de crainte de voir des bulldozers œuvrer dans le cadre d'une énième opération immobilière...
Et on oublie pour se souvenir de cet artiste engagé...
Commentaires
Là, on est chez Arman, un chouïa de Ben (il y en avait un dans mon album : "il faut se méfier des mots"), le matiérisme dans la ligne.
Je l'avais bien dit que tes photos seraient meilleures.
Matoub Lounès.
http://www.youtube.com/watch?v=fjex...
L'image n'est pas très bonne, le son n'est pas très bon, mais j'aime mieux le voir ainsi vivant.
Elles sont juste différentes. ;-)