Cris & chuchotements

un léger décalage...

Billet

En ce jour de manif contre l'austérité, les murs portent des mots de révolte, d'espoir, de souffrance, d'humour et poésie...

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Commentaires

1. Le samedi 15 novembre 2014, 11:46 par lediazec

Les murs ont la parole, les pavés la réponse.

2. Le samedi 15 novembre 2014, 18:03 par des pas perdus

Exactement Lediazec

3. Le samedi 15 novembre 2014, 19:38 par Lou de Libellus

J'aime particulièrement :
SI L'ODRRE EST
LA PAIILSR DE LA
RIOASN
...

Pour le travail, je ne cautionne pas, je te laisse cotiser : - )

4. Le samedi 15 novembre 2014, 20:56 par Zap Pow

Ne vivons plus comme des esclaves, slogan qui a fait fortune en Grèce (les slogans sont aujourd'hui les seuls à y faire fortune), tiré d'une pièce de Jean Genet, est aussi le titre d'un film sur la Grèce, et ce qu'on y a fait au nom de la crise :
https://www.youtube.com/watch?v=rpq...

5. Le dimanche 16 novembre 2014, 09:42 par des pas perdus

Lou, je ne commente pas ! :-)

Zap Pow, merci pour le lien.

6. Le lundi 17 novembre 2014, 05:22 par babelouest

Lou, je te rappelle que le mot travail a pour racine la torture.
http://fr.wiktionary.org/wiki/trava...

En revanche, devrait n'avoir droit de cité que la tâche effectuée librement de concert avec les autres humains libres, en toute égalité, selon le principe "de chacun, selon ses moyens, à chacun, selon ses besoins". Le reste, si l'on réfléchit bien, n'est que propaganda sordide en vue du PROFIT de quelques-uns. Qui eux, ne feraient rien, que profiter de la sueur physique ou mentale des autres humains (ou devrais-je dire, des humains, ces parasites n'en étant pas ?)

Et quand je parle de tâches, je veux dire que, par exemple, celle d'un guitariste qui vient soutenir de sa musique des amis en train de construire un logement, a autant d'importance : sûrement plus que des "psychologues" appliquant livresquement une pseudo-connaissance des autres, ou que des pseudo-médecins guère capables que de prescrire des substances chimiques en vue de poser un paravent partiel et éphémère sur des maux, mais surtout pas sur leurs causes.

Certes, mes propos sont iconoclastes. Donc, ils sont nécessaires. Bon dimanche !

7. Le lundi 17 novembre 2014, 10:05 par Lou de Libellus

C'est bien pourquoi je ne cautionne pas le travail. Je laisse faire Des pas, un bourreau de travail.
Notre "travail" vient effectivement de la "poutre".
La "paille"... Des pas est peut-être en train de méditer dessus (mais personne ne peut comprendre pour le moment, c'est un souvenir d'enfance - de son enfance).

"Le seul aspect de la femme révèle qu’elle n’est destinée ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux grands travaux matériels. Elle paie sa dette à la vie non par l’action mais par la souffrance, les douleurs de l’enfantement, les soins inquiets de l’enfance.
Arthur Schopenhauer, 'Essai sur les femmes', dans 'Pensées & Fragments', traduction par J. Bourdeau , Félix Alcan, éditeur, 1900

Schopenhauer est un grand sage (je ne plaisante pas).

8. Le lundi 17 novembre 2014, 10:27 par babelouest

Va dire cela à Louise Michel, à Olympe de Gouge, à Dolorès Ibarruri, à Marie Curie, à Dehya Tadlut, à Geneviève fille de Severus, à la plupart des femmes africaines ou amérindiennes...

9. Le lundi 17 novembre 2014, 16:40 par des pas perdus

C'est de Loumour...