Plutôt que d'écrire un billet, j'ai repris quelques lignes de Jean-Pierre Levaray dans Putain d'usine, histoire d'illustrer combien le travail du dimanche est volontaire et épanouissant pour les salarié-e-s... et leurs proches.
« Le pire, c'est le moment où il faut y aller... Un dimanche à travailler alors qu'il fait beau. C'est comme si on était hors du monde. »
« C'est bête que tu partes ! Après le repas, on comptait aller se balader... Respirer un peu la mer... »
« Et voilà. 1h00 après, on est tous là comme des abrutis... Le café à la main... Une fois de plus... L'après-midi sera longue. »
« Et pendant ce temps-là, les gens que j'aime vivent... Sans moi. »
Commentaires
Même le 01 53 06 35 35 est fermé !
Et à la fin un salon de thé fermé, c'est mauvais signe.
Il paraît que c'est la crise...
Nostalgie, le dimanche quand j'avais 10 ans, ma mère m'autorisait à écouter ses disques. Ma préférence allait vers ce groupe:
https://www.youtube.com/watch?v=DZL...
https://www.youtube.com/watch?v=77M...
https://www.youtube.com/watch?v=Gj2...
Robert, j'ignorais l'existence des Sunlights. Etonnantes reprises. Ils t'ont donné le virus de la politique ? Carrière fulgurante d'après ce que je lis. La mode était aux rouflaquettes ;-) J'attends de Lou un billet exhaustif.
Ma culture musicale est pauvre à côté de Libellus!
Des pas, Robert ! Je vous rappelle que j'ai un plan. Les 'Sunlights', complètement inconnus. Qu'est-ce que j'écoutais à cette époque, depuis des années, le disque est tout rayé... Oui...
https://www.youtube.com/watch?v=MS8...
J'aimais bien le titre : sans maître.
Frais du jour, sur Libellus, les tyrans.