#CaVaMieux disent-ils...

un léger décalage...

Billet

L'heure est à la reconquête chez les "socialistes" pour défendre le bilan du quinquennat de François Hollande. 650 "militants" "socialistes" dont une vingtaine de ministres se sont réunis dans un amphi de la faculté de médecine de Paris : ça sent le syndrome de la cabine téléphonique. Je suis de mauvaise foi, la place de la République était occupée !

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Mais, trêve de plaisanterie, #CaVaMieux en le disant !

Plutôt que de dresser un inventaire à la Prévert, je vais prendre seulement deux exemples significatifs sur lesquels le "PS" communique beaucoup :

  • le chômage;
  • les comptes publics;

#CaVamieux, la courbe du chômage s'inverse :

Malgré les différents tripatouillages et la communication gouvernementale, l'actuel quinquennat aura échoué dans sa lutte contre le chômage de masse. Ce ne sont pas quelques timides baisses intermittentes qui inverseront la tendance : il y a plus de chômeurs sous Hollande que sous Sarkozy, comme il y en avait plus sous Sarkozy que sous Chirac, etc !

L'application des dogmes ultra-libéraux à coup de baisses des cotisations sociales, de cadeaux chiffrés en dizaines de milliards d'euros, d'emplois subventionnés et défiscalisés, et de flexibilité sociale accrue accroît le nombre de chômeurs, de salarié-e-s pauvres et précaires et de personnes sous le seuil de pauvreté.

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Cette politique est un tel échec que les gouvernements Ayrault et Valls ont repris les méthodes de leurs prédécesseurs pour faire baisser artificiellement le nombre de chômeurs en exigeant de pôle Emploi qu'il en radie un maximum, et en imposant une baisse de l'indemnisation du chômage : à défaut de combattre le chômage, le gouvernement "socialiste" combat les chômeurs...

Mais, le pire c'est que le gouvernement Valls persiste avec la loi El Khomri ! Un tel aveuglement dans les dogmes de l'idéologie dominante rappelle celui des dirigeants soviétiques des années 70...

Pour nos "socialistes" #CaVamieux, pour la nomenklatura soviétique, c'était le socialisme, et pour Thatcher et Reagan, c'était la liberté d'entreprendre et de réussir pour tous !

Bref, tant que le système capitaliste et le libre-échange ne seront pas combattus par une politique volontariste, le dumping social sévira et toute politique contre le chômage sera vaine.

Mais j'ai un doute, le "PS", allié du MEDEF, veut-il vraiment le plein emploi ou laisser une telle réserve de main d’œuvre employable et corvéable et peu coûteuse à la disposition des capitalistes ?

#CaVamieux, les comptes publics sont maîtrisés :

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Courbes et chiffres à l'appui, les "socialistes" vantent leur sérieux budgétaire. #CaVaMieux pour les comptes publics, mais au bénéfice de qui ?

Si les comptes publics se portaient mieux, tout le monde devrait s'en rendre compte, non ? En d'autres termes, on devrait tous - surtout les classes populaires et moyennes - le ressentir dans notre quotidien, non ?

Or, aucune amélioration, tant au niveau des services publics qu'au niveau des minimas sociaux...

En fait, si les comptes publics paraissent maîtrisés, c'est en raison de l'austérité imposée à tous, sauf au patronat (cf. les dizaines de milliards d'euros de cadeaux du CICE) et à l'oligarchie (optimisation fiscale, niches fiscales, évasion fiscale).

Cette maîtrise des comptes publics n'est hélas qu'une illusion, sachant que la France compte trois banques systémiques (too big to fail).

En l'espèce, le "PS" aurait du éliminer ces trois banques qui risquent aujourd'hui de faire plonger l'ensemble de l'économie. La loi de séparation des activités bancaires concoctée par K. Berger n'a impacté que 1 % des activités bancaires... Autrement dit, cette loi n'a été qu'une cynique opération de communication qui n'empêche pas ces banques de spéculer avec l'épargne de leurs clients sur les marchés des produits dérivés, ni d'ouvrir des succursales dans les paradis fiscaux.

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Mais, ce n'est guère une surprise puisque c'est un gouvernement "socialiste" qui a libéralisé la finance en France, que c'en est un autre avec DSK à Bercy qui a refusé d'instaurer la taxe Tobin, et qu'enfin, Moi résident de l'Elysée a tout fait pour freiner une taxation de certaines transactions financières à l'échelle européenne...

Grâce à la complicité des "socialistes" avec la finance, la prochaine bulle financière ne manquera d'éclater. Les sacrifices imposés aux classes populaires et moyennes sous Hollande pour assainir les finances publiques s'avéreront complètement inutiles. Des centaines de milliards d'euros seront engloutis en pure perte pour tenter de sauver ces banques !

Bref, tant qu'un gouvernement autorisera l'existence de banques systémiques et s'interdira de contrôler sa banque centrale pour financer directement les investissements publics et contrôler la création monétaire, la maîtrise des comptes publics et des déficits publics ne sera que pure illusion.

Et, les sacrifices de l'austérité imposés au plus grand nombre, complètement inutiles et vains.

Alors "ami-e-s" "socialistes"...

Vous pouvez toujours inventer des éléments de langage à la #CaVaMieux ou créer des clubs bidons tels que En Marche ou Hé oh la gauche d'ici la prochaine présidentielle, mais ne prenez pas vos fantasmes pour la réalité, ni les citoyen-ne-s pour des sympathisants socialistes prêts à tout avaler... et à vous soutenir comme des supporters.

En définitive, #CaVamieux exclusivement pour le MEDEF, l'oligarchie et le FN, mais ils ne s'en rendent pas compte !

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Commentaires

1. Le mercredi 27 avril 2016, 21:29 par AgatheNRV

Le PS est exsangue. Plus de militants, plus de fric. Ils doivent quitter la scène alors pour paraître moins piteux, moins cons, ils arborent leur condescendance et leur mépris.

2. Le mercredi 27 avril 2016, 21:36 par Robert Spire

Oui ça va mieux pour les riches comme Mr Pinault qui parade en plein coeur de Paris...Une ville qui n'a pas les moyens d'offrir les logements nécessaires et décents aux SDF.

3. Le mercredi 27 avril 2016, 21:58 par des pas perdus

Agathe, ils en viennent aussi à vendre une partie de leurs biens immobiliers et à lancer des souscriptions comme dans le nord... Et, ce n'est qu'un début !

Robert, c'est un vrai scandale, toute cette richesse et cette misère tel un pays du tiers-monde.

4. Le jeudi 28 avril 2016, 08:07 par Lou de Libellus

D'où vient Macron, cet homme persécuté par la critique, même au gouvernement ? Pour qui travaille-t-il ?
Belles affichettes et belle imprimante !

5. Le jeudi 28 avril 2016, 09:27 par Lou de Libellus

http://www.francetvinfo.fr/politiqu...
C'est pas de la persécution, ça ?

6. Le jeudi 28 avril 2016, 19:34 par des pas perdus

Merci pour le compliment Lou... Je confirme bien que ne faisant pas de politique, c'est un martyr....

7. Le vendredi 29 avril 2016, 01:23 par Arthurin

Admettons, soyons fous, que les solfériniens aient fait jaillir le plein emploi (bien qu'il n'ai jamais existé ; même si les femmes ont toujours travaillé), on aurait tous un travail subordonné aux intérêts de l'accroissement de valeur du capital financier des propriétaires de patrimoines lucratifs ; ce serait certainement cool (moins cool si c'est des jobs à 0€ :/) mais ça ne serait toujours pas du socialisme.

Quant aux comptes publics, il faudra d'abord expliquer ce qu'ils ont de "public" ; reste que les comptes de cheptels c'est un vrai casse-tête, c'est sûr.

Sur les banques je ne dis rien, parce que pour traiter un tant soit peu convenablement le sujet on est obligé de dériver sur la souveraineté d'une part, faire le distinguo entre système économique et système financier d'autre part, puis une fois ça fait remettre au clair la notion de l'axiologie politique qui sous-tend inéluctablement le système (donc au préalable admettre le fondement moral de la société), etc...

Si ; je peux simplement dire que ce système fonctionne on ne peut plus correctement, comme ça j'ai tout dit.

8. Le vendredi 29 avril 2016, 08:00 par babelouest

On s'est compris Arthurin : c'est donc TOUT le système qu'il faut changer, en partant du principe que l'on doit passer de la société de l'échange à la société du partage, qui incidemment fait disparaître un énorme morceau : LA MONNAIE. Absolument toute monnaie. Cela paraît fou, dit ainsi.

Plus de banquiers.
Plus de financiers.
Plus de créanciers.
Plus de propriétaires (eh oui mon canard !)
Plus de gens en-dessous.
Plus de gens au-dessus non plus (là j'en connais qui avalent la cravate qu'ils ont oublié de mettre ce matin)
Plus de pauvres.
Plus de riches.
Plus de crimes
_sauf de déments, comme ceux qui regretteraient de ne plus être très riches, hi hi hi,
_ou de machos frustrés de ne plus pouvoir commander à des femmes devenues soudain complètement égales totalement à eux, bonjour le retour de semence dans le moteur)
_ou de fachos qui ne pourraient plus passer leur haine sur "des sous-hommes"

Ça vaut le coup, non ?

9. Le vendredi 29 avril 2016, 09:39 par AgatheNRV

Plus de patrons ! Réseau Salariat ! Plus de banques ! Réseau Salariat !

10. Le vendredi 29 avril 2016, 12:11 par Robert Spire

Pierre Clastres: "La société contre l'Etat":
"Quand, dans la société primitive, l'économique se laisse repérer comme champ autonome et défini, quand l'activité de production devient travail aliéné, comptabilisé et imposé par ceux qui vont jouir des fruits de ce travail, c'est que la société n'est plus primitive, c'est qu'elle est devenue une société divisée en dominants et dominés, en maîtres et sujets, c'est qu'elle a cessé d'exorciser ce qui est destiné à la tuer : le pouvoir et le respect du pouvoir. La division majeure de la société, celle qui fonde toutes les autres, y compris sans doute la division du travail, c'est la nouvelle disposition verticale entre la base et le sommet, c'est la grande coupure politique entre détenteurs de la force, qu'elle soit guerrière ou religieuse, et assujettis à cette force. La relation politique de pouvoir précède et fonde la relation économique d'exploitation. Avant d'être économique, l'aliénation est politique, le pouvoir est avant le travail, l'économique est une dérive du politique, l'émergence de l'Etat détermine l'apparition des classes."

11. Le vendredi 29 avril 2016, 19:26 par Arthurin

@ Bab

Ça fait un bail qu'on s'est compris camarade ; notre point de divergence majeur, si ma mémoire est bonne, se situe sur ce qui déclenchera le changement, je dis que ce doit être notre volonté (où nous = peuple, citoyens, prolétaires) (rayez les mentions "inutiles"), tu dis que ce seront les évènements, il se peut que tu ais raison mais ça confine in fine au nihilisme, au mieux à la béatitude de la contemplation existentialiste...

Oh, et la monnaie n'est qu'un outil, quand on se tape sur les doigts avec un marteau, le marteau n'y est pour rien, mais on est pas obligé d'utiliser cet outil là non plus, mais pour planter des clous c'est plus pratique qu'un tournevis :)

@ Robert

L'axiologie politique engendre un type d’État particulier qui peut déterminer ou non l'apparition des classes (et le cas échéant se peut être des classes sociales sans distinctions hiérarchiques de pouvoir). In situ c'est parce que le rapport de force est à la faveur de l'ultra-libéralisme que l’État qui en découle reproduit naturellement des rapports de domination (inhérents à l'état de nature).

L’État est (tel que je le vois) en substance l’organisation sociale et sociétale publique et commune dans le but du déterminisme public et commun (a fortiori incarné par les institutions) (et si on revient sur les comptes "publics", on peut commencer sérieusement à s'interroger sur la légitimité de cet État en tant que tel...), je ne vois pas comment ni pourquoi on devrait s'en passer.

(et oui le déterminisme ultra-libéral c'est de la merde, en branche, par paquets de douze, on est d'accord) (et c'est ce déterminisme là qui adopte le capitalisme financier comme système de gestion des interactions sociales) (au détriment -entre autres- d'autres formes de capitalismes...).

De surcroit il convient d'opérer le distinguo entre l’idée de l’étatisme et le structuralisme induit par les institutions de l’État.

Ne pas sombrer dans l'anti-étatisme ne relève pas de l'évidence, parole d'anarchiste.

12. Le vendredi 29 avril 2016, 19:59 par babelouest

Ah mais Arthurin, justement je disais bien que ce que j'aimerais mettre en place (probablement par la force, de toute façon PAS par les urnes) n'utilise PAS de monnaie, dans son principe même. Il semble bien que tu rejettes la notion d'égalité, alors qu'elle est mon moteur principal. Égalité, cela dit bien ce que cela veut dire. Égalité, entre tous les humains TOUS différents, pas un en-dessous, pas un au-dessus. En fait je crains que nous n'ayons des visions très différentes de l'avenir.

D'ailleurs, dans ces conditions-là, justement l'État n'existe tout simplement pas, les grandes entreprises non plus. Tout part du bas, la communauté, la Commune, que sais-je, le nom n'est pas important, son contenu, si. Le reste n'est que mises en commun passagères de talents, de ressources, au fil des besoins réels (et non des envies). Là-dedans bien entendu, TOUS sont responsables, réellement. Tu vois, nous sommes anarchistes tous les deux sans doute, mais vraiment pas de la même manière.

13. Le samedi 30 avril 2016, 00:33 par Arthurin

C'est pas facile, surtout par internet interposé, sur des sujets où il est facile de se perdre.

Si ça peut t'éclairer je suis farouchement opposé à la hiérarchie décisionnelle mais je peux concevoir une hiérarchie strictement organisationnelle ; donc de toutes façons moralement pas d'humain au dessus de l'être humain, non, sur ce point nous sommes d'accord et c'est ce qui fait de nous des anars, oui.

Pour ce qui est de l'égalité, disons qu'un système tel que le conçoit Friot avec la propriété d'usage des outils de production (des entreprises en général donc) et une rémunération à la qualification par le biais de caisses publiques et communes alimentées par les cotisations sociales me plait assez, mais qu'il a ses limites intrinsèques, en particulier la supposée colinéarisation spontanée des conatus individuels et collectifs du fait même de l'existence des caisses... Question "main invisible" qui gère des trucs, on a déjà donné...

(et en plus la mise en place de tel système me parait impossible dans un environnement dominé par le capitalisme financier puisque la cotisation sociale va se restreindre attendue l'automatisation/robotisation/informatisation)

Donc je défendrai la nécessité de L’État tel que j'en ai donné la définition précédemment et bien entendu avec un système politique démocratique stricto sensu.

Pour ce qui est des stratégies de la lutte, pfiiioouu... Honnêtement j'en sais foutre rien (j'ai mon idée sur la question, hein, c'est pas le souci), je veux juste un système démocratique pour qu'on puisse tous en discuter sereinement et la définir conjointement, c'est tout ce que je souhaite voir émerger des nuits debout par exemple, je le souhaite plus que je ne l'espère...

14. Le samedi 30 avril 2016, 08:17 par des pas perdus

Intéressant débat. J'estime que la monnaie et l'Etat sont des outils. De même qu'il faudra aussi une police et une armée car nous ne vivons pas dans un monde de bisounours.
Nonobstant les moyens de renverser l'ordre capitaliste ultralibéral, il faut préalablement que le peuple le veuille...

15. Le samedi 30 avril 2016, 09:51 par Arthurin

On a un peu dérivé du billet initial, on a glissé chef ^^

16. Le samedi 30 avril 2016, 13:47 par Robert Spire

Pierre Clastres ne considère pas le passage historique de la société sans Etat vers la société avec Etat comme une évolution "progressiste". Les sociétés sans Etat (dites primitives): " C'est l'effort permanent pour empêcher les chefs d'être chefs, c'est le refus de l'unification, c'est le travail de conjuration de l'Un, de l'Etat. l'Histoire des peuples qui ont une histoire est dit-on, l'histoire de la lutte des classes. L'Histoire des peuples sans histoire, c'est, dira-t'on avec d'autant de vérité au moins, l'histoire de leur lutte contre l'Etat."
A votre avis, le mouvement de "Nuit debout" se situe dans quelle histoire? Ou bien part-il de la première pour rejoindre la deuxième?

17. Le samedi 30 avril 2016, 16:33 par babelouest

Je pense au contraire, Robert, que le vrai progrès serait le passage de la société sous la contrainte, à celle de la solidarité. C'était ce à quoi aspirait Nestor Makno. Malheureusement il dut lever une armée pour défendre les intérêts de la communauté. On sait qu'une armée, cela fonctionne de haut en bas. C'est très adapté aux dictatures comme celle du Tsar, comme celle du Parti Unique. Ce ne l'est pas du tout aux Cercles de Décision, les Soviets. Malgré tout au début les Cercles finirent par vaincre les armées "Blanches", mais affaiblis, ils ne tinrent pas le choc quand "les Rouges", qui avaient pourtant été leurs alliés auparavant, fondirent sur eux. Pauvre Ukraine ! Elle aurait pu connaître un autre sort...

Une société sans chefs et sans patrons, c'est pourtant mieux ! Une société démondialisée, c'est pourtant mieux ! Candide ne cessait de répéter "Il faut cultiver son jardin".

Je pense que nous sommes toujours dans le droit fil du billet, hélas !

18. Le dimanche 1 mai 2016, 12:11 par Arthurin

Le progrès est une notion relative ; si je suis patron et que je souhaite gagner plus d'argent, exploiter davantage la masse salariale dont je dispose est un progrès (sic).

La morale elle-même est une notion relative.
(cf. https://redvolted.wordpress.com/201...)

Alors nous devons préciser l'axiologie de notre conception du progrès, et nous dirons a minima que notre inclinaison morale tend vers le bien commun.

Comme nous œuvrons dans le cadre de la société, cette morale qui tend vers le bien commun est de facto une morale publique commune.

(sur la morale publique commune : https://redvolted.wordpress.com/201...)

Partant j'affirme :

Un déterminisme public et commun est nécessaire à l'émancipation de l'être humain des servitudes héritées de sa condition métaphysique originelle, que le point soit nommé comme il plaira par chacun et réfuté s'il y a lieu.

Aussi longtemps que nous souhaitons nous déterminer à nous considérer sous une égalité morale stricte la démocratie s'impose d'elle même comme processus décisionnel, ce quel que soit le biais stratégique considéré à cette fin ; finalité démocratique dont la démocratie est in fine le seul moyen pérenne en tant qu'artefact démocratique (intégrant donc sa propre reconception) ; encore une fois que le point soit nommé comme il plaira par chacun et réfuté s'il y a lieu.

(sur l'artefact démocratique : https://redvolted.wordpress.com/201...)

De là, libre à chacun de juger si nos actions individuelles et/ou collectives s'inscrivent peu ou proue sous cette axiologie ou sous une autre...