C'est juste un mot ?
P'têt' l'mot de trop ?
P'têt' même l'mot d'galop ?
Ce qui compte : le mot qui LES mettra au pas, les Banksta les journalista les tourista les philasop(h)a les pue-blicita les cancrelats et les goujats.
2.
Le dimanche 29 mai 2016, 00:14 par des pas perdus
Si le Christ est de la partie... mais les miracles sont rares en temps de crise.
"Que penser d'une société qui chie dans de l'eau potable ?" http://www.leforik.com/wp-content/u...
4.
Le dimanche 29 mai 2016, 07:52 par des pas perdus
Lou, belle image...
5.
Le dimanche 29 mai 2016, 08:16 par Robert Spire
Les révoltes qui se sont soldés dans le passé par plus de bien-être étaient accompagnées par de forts et novateurs courants artistiques. Ce n'est pas le cas aujourd'hui malgré les efforts du Street-art.
Robert, il faut que tu te dises que l'art aujourd'hui, "officiel", est plus qu'indigent et juste une posture.
En revanche, l'art vrai existe toujours, il en est réduit à exposer dans des villages tout heureux de le recevoir. Dès qu'on aborde des agglomérations plus importantes, elles se ferment à ce qui n'est pas "officiel".
Des amis se sont constitués en association, pour promouvoir leurs diverses productions, et ma foi cela fonctionne à condition de se cantonner aux villages, donc à des publics assez restreints. Il convient donc de multiplier les actions pour toucher ces publics, en revanche ils sont très réceptifs.
Bien sûr DPP. Je pense à lui très souvent, et à M Art'ine. Et à leur maison improbable.... Ces temps-ci ils sont fort occupés par un ennui familial, qui (hélas en fait) se résorbera de lui-même un jour.
On n'a pas de nouvelles de Rod. Récemment, il y avait une connexion depuis son compte Facebook, il (on) n'a pas répondu.
Bien d'accord, Bab, sur le marché de l'art contemporain aujourd'hui. Il y a des galeristes qui nous manquent (Henri Bénézit).
Des toilettes sèches, à l'échelle de la métro/mégalopole, c'est un défi d’ingénierie majeur, en proie à des enjeux financiers colossaux ; l'auto-gestion ça fait un peu léger comme réponse stratégique, "la révolution des sacs à caca" ça me paraît moyen en terme de hype.
Commentaires
C'est juste un mot ?
P'têt' l'mot de trop ?
P'têt' même l'mot d'galop ?
Ce qui compte : le mot qui LES mettra au pas, les Banksta les journalista les tourista les philasop(h)a les pue-blicita les cancrelats et les goujats.
Le plus tôt sera le mieux.
Si le Christ est de la partie... mais les miracles sont rares en temps de crise.
"Que penser d'une société qui chie dans de l'eau potable ?"
http://www.leforik.com/wp-content/u...
Lou, belle image...
Les révoltes qui se sont soldés dans le passé par plus de bien-être étaient accompagnées par de forts et novateurs courants artistiques. Ce n'est pas le cas aujourd'hui malgré les efforts du Street-art.
Robert, il faut que tu te dises que l'art aujourd'hui, "officiel", est plus qu'indigent et juste une posture.
En revanche, l'art vrai existe toujours, il en est réduit à exposer dans des villages tout heureux de le recevoir. Dès qu'on aborde des agglomérations plus importantes, elles se ferment à ce qui n'est pas "officiel".
Des amis se sont constitués en association, pour promouvoir leurs diverses productions, et ma foi cela fonctionne à condition de se cantonner aux villages, donc à des publics assez restreints. Il convient donc de multiplier les actions pour toucher ces publics, en revanche ils sont très réceptifs.
http://lartche-des-sens.blogspot.fr...
Robert, on manque sans doute de recul.
Bab : ton lien me fait penser à l'ami Lediazec.
Bien sûr DPP. Je pense à lui très souvent, et à M Art'ine. Et à leur maison improbable.... Ces temps-ci ils sont fort occupés par un ennui familial, qui (hélas en fait) se résorbera de lui-même un jour.
On n'a pas de nouvelles de Rod. Récemment, il y avait une connexion depuis son compte Facebook, il (on) n'a pas répondu.
Bien d'accord, Bab, sur le marché de l'art contemporain aujourd'hui. Il y a des galeristes qui nous manquent (Henri Bénézit).
(déjà vu mais de circonstance : https://www.youtube.com/watch?v=XIt...)
Des toilettes sèches, à l'échelle de la métro/mégalopole, c'est un défi d’ingénierie majeur, en proie à des enjeux financiers colossaux ; l'auto-gestion ça fait un peu léger comme réponse stratégique, "la révolution des sacs à caca" ça me paraît moyen en terme de hype.
(http://fr.urbandictionary.com/defin...) ("Quand quelqu'un est excité à propos de quelque chose", in french)