Cette décision du tribunal de grande instance de Bobigny précise qu'à compter de cette date, si Bricorama persiste à ouvrir illégalement, il devra acquitter une astreinte de 1 800 euros par jour et par salarié.
Plus que jamais, la balle est dans le camp du gouvernement Ayrault :
- Se contentera-t-il de donner des instructions au préfet de Seine Saint-Denis pour accorder ou pas une dérogation à Bricorama ? Quelle que soit la décision, la situation de milliers de salariés dont le repos dominical dépendra toujours des décisions unilatérales de leurs patrons.
- Ou, se décidera-t-il enfin à inscrire à l'ordre du jour de l'Assemblée Nationale la proposition de loi du Front de gauche relative au travail dominical qui a été votée l'année dernière au Sénat ?
Alors ami-e socialiste, le changement, c'est maintenant ?
Commentaires
A mon avis, ils vont faire une conférence nationale sur le sujet !
Quant à prendre une décision... vous rêvez, non ?
Sans doute un peu...