Depuis le krach de 2008, les dirigeants politiques des plus grandes puissances économiques se sont maintes fois réunis en G8 ou G 20 pour limiter les effets de la crise, réglementer les marchés financiers, interdire les paradis fiscaux ou moraliser le capitalisme...
Pour rien.
Pire encore, l'idéologie néo-libérale a davantage étendu sa domination sur le monde, Union européenne comprise. Un paradoxe que pointent du doigt des économistes...