Ces deux courts romans plongent le lecteur au cœur de la seconde mondiale, du côté de l'Allemagne nazie..
«Croyez-moi, ils avaient tous le même air, ceux qui avaient de bonnes notes en latin et ceux qui n'avaient jamais fait de latin. Ils avaient l'air horrible et n'évoquaient rien, absolument rien de sublime. Ils se ressemblaient tous, Polonais, Allemands et Français, les héros comme les lâches. Je ne puis vous en dire plus. Ils appartenaient à la terre, et non l'inverse. C'est tout...»