"Les gens qui écrivent sur l'Europe ont la vie facile. L'écrivain n'a qu'à s'arrêter à Florence, où il situe l'action de son roman. L'histoire s'occupe du reste.(...) Monrovia place le visiteur dans une situation tout à fait différente. Des petites maisons identiques, toutes de guingois et à l'abandon, s'étirent sur des kilomètres. On passe d'une rue à l'autre, d'un quartier à l'autre sans s'en apercevoir..."
lundi 1 février 2010