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samedi 29 octobre 2005

et les bonnes soeurs ?

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Suite aux révélations de l'Abbé Pierre, vous avez sans doute lu diverses analyses sur le célibat des prêtres et l'avenir de l'Eglise qui manque cruellement de serviteurs. En regardant un album et notamment cette photo, ci-dessous, nos pas perdus se sont émus qu'aucun sociologue ou journaliste ne pensa au sort des religieuses, nonnes et autres bonnes soeurs, guère nombreuses en ces temps modernes... Si le Vatican faisait preuve de plus de souplesse et de tolérance aux niveaux de leurs moeurs et de leurs tenues vestimentaires, peut-être n'y aurait-il plus de crise des vocations à rejoindre les ordres...?

Klimt, Schiele, Moser, Kokoschka : Vienne 1900

Klimt.jpgIl n'est pas dans les habitudes des pas perdus de pratiquer la publicité, mais l'exposition au Grand Palais vaut largement le détour. Certes, il y a du monde pour nous décourager, dehors mais on peut toujours réserver ce qui évite la file d'attente, et à l'intérieur, mais cela n'ôte pas le plaisir d'admirer ces toiles, de remarquer certains détails, de se laisser troubler par leur ambiance.

Plaisir des yeux et plus encore. Plaisir de découvrir ces peintres de Vienne entre 1890 et 1918, différents de par leurs styles, et proches dans leurs volontés de créer une oeuvre personnelle différente de leurs ainés.

Oeuvres décadentes, mélancoliques, torturées ou apaisées, portraits ou paysages, peintures ou dessins, elles ne laissent pas indifférentes... Comme nos perdus ne sont pas spécialistes de l'art, ni historiens, mais seulement simples amateurs d'art, vous devriez vous renseigner sur le sujet et filer directement à l'expo !

mercredi 19 octobre 2005

soirée FMR

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Nos pas perdus se sont retrouvés lundi dernier au Point Ephémère. Ils ont assisté, en première partie, à la performance d'un jeune groupe sympa et talentueux, Fruit Key (photo ci-dessus), plein d'énergie .

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mardi 18 octobre 2005

échappade picturale

Dimanche dernier, nos pas perdus ont suivi les pas des pré-impressionnistes, à l'orée de la forêt de Fontainebleau. Entre 1834 à 1870, des artistes quittèrent Paris pour échapper aux canons de l'époque. Chez eux, la nature, les paysans et le paysage ne sont plus des accessoires de décoration mais les sujets principaux de leurs toiles. Cette nouvelle approche, qui ne manqua pas de susciter bien des critiques (ils étaient exclus des salons), eut une influence durable. On parle aujourd'hui de l'école de Barbizon pour évoquer ces peintres précurseurs du mouvement impressionniste. Millet, Corot, T. Rousseau et consorts vinrent dans ce hameau, et logèrent à l'auberge des frères Ganne... Cette bâtisse est aujourd'hui un musée où l'on peut voir les traces laissées par ces artistes... Ces derniers, faute de moyens sonnants et trébuchants, devaient payer en nature...

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samedi 15 octobre 2005

les exilés

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Récemment, nos pas perdus ont lu un article sur les parisiens nés ailleurs, pas vraiment parisiens, et plus vraiment de là-bas... Mais à côté de ce que peuvent vivre les immigrés, cela semble bien anecdotique... Nous pensâmes aux romans de l'auteur du célèbre "à l'ouest rien de nouveau". Relire notamment "l'obélisque noir" ou "arc de triomphe" qui se situent dans les années 30 quand Erich-Maria Remarque espérait trouver un refuge durable à Paris...

jeudi 13 octobre 2005

chute bureaucratique

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Tandis que les vacances devenaient déjà un doux souvenir, je reprenais les habitudes de la vie de bureau. Arrivé tôt, sans trop d’enthousiasme pour éviter la foule au RER, je lisais la presse et profitais du silence qui régnait dans la Tour. En me servant une deuxième tasse de café, je remarquais que les plantes de ma collègue bien aimée n’étaient plus sur le meuble, et que des cartons étaient rangés sous son plan de travail.

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dimanche 2 octobre 2005

fermeture le

Une boutique fermée définitivement dans une rue à l'abandon, à quelques mètres du centre de tri de La Chapelle. Des immeubles sans confort, des hôtels vieillots, des immeubles lépreux, une bouche d'eau laissée à la disposition des habitants pour se ravitailler, des tags et des dessins sur les murs qui témoignent d'un mal être. Avant de marcher dans cette rue, nos pas perdus passèrent devant des mendiants. Bref, le tableau était complet et saisissant, au point de poser quelques questions...

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