septembre 2006

Le bilan de la politique menée depuis 2001 par Nicolas Sarkozy est si calamiteux que chaque jour nous révèle son lot de faits délinquants. Même les médias qui le portaient aux nues sont bien obligés de les relater. Alors, notre ministre tente de les occuper en détournant leur attention. L'autre jour, une opération de police a été fortement médiatisée. C'est au point où l'on se demande si le ministre ne demande pas quelles sont les disponibilités des journalistes, en particulier des médias télévisuels, pour décider du jour et de l'heure d'une intervention des forces de l'ordre. Une autre fois, comme vous le savez, il désigne un bouc-émissaire pour se justifier. Ainsi, les juges du tribunal de Bobigny furent publiquement accusés d'entraver son action, au mépris de la séparation des pouvoirs.

Faute de temps, nos pas perdus sont restés longtemps silencieux en matière de cinéma. La faute au manque de temps et sans doute à la flemme et à un certain aquabonisme. Bref, nous aurions dû partager notre enthousiasme pour Match Point, Rosetta, Enfermés dehors, Altraa, Lord of war, Good night and good luck, Walk the line, A history of violence, ou encore Lonesome Jim.

Coup de coeur des pas perdus... La suite

Un pochoir d'actualité ou plutôt le rêve éveillé que les belligérants et les peuples au Moyen-Orient s'aperçoivent enfin que la guerre est source de toutes les misères.

Après un long mois de silence, les chroniques bureaucratiques sont de retour. En cliquant sur l'image, ci-dessous, vous accéderez au 23ème épisode... Ces chroniques sont un mélange de "Lost", "Les experts", "Dallas", "Sin city" et Desperate Housewives" ! En plus, elles ne s'arrêtent jamais !

un soir de novembre 2005... un concert inoubliable

On ne compte plus les soutiens au ponte de la place Beauvau. Le plus surprenant est assurément celui de Dr Gynéco. A se demander si le garçon est conscient de ses actes. Un rappeur de droite : hip hop, le garçon a retourné sa veste, oublié les racines d'une musique de la rue et de la contestation sociale. Bref, c'est l'histoire d'un zozo qui n'en est pas toujours pas revenu d'être plein aux as, de se faire cirer les bottes par le staff du sinistre et d'avoir le privilège de parler au petit Nicolas. Etonnant, non ?

Franchement, nos pas perdus ne peuvent pas encore (ouf ! diront certains...) écrire un petit billet... Après réflexion, grâce aux quelques neurones qui survivent encore en cette heure avancée, la rentrée vous dégouterait presque des vacances quand on voit la masse de dossiers accumulés à traîter de toute urgence... Voilà, pourquoi on dissertera une autre fois...