juillet 2014

Il n' y a pas que dans le domaine économique et social que Hollande pratique la même politique de Sarkozy. Hélas !

« Il aurait pu s'agir d'une belle journée de début août s'il n'avait pas fait plus de trente degrés. Les petits vieux assis sur des bancs, autour de la place, avaient le chapeau à la main et s'éventaient en se racontant des blagues qui dataient du temps où, en écoutant les roucoulades de Bing Crosby, les filles mouillaient leur culotte taillée dans un sac à farine. A l'aide d'un bâton, un gamin titrait sur un chewing-gum mou collé au trottoir et tissait autour de lui une longue toile d'araignée gluante dont il ne se débarrasserait pas de sitôt. »

« Pas de jours de repos pour les travailleurs, c'est sans doute ce à quoi aspire le patronat qui, après avoir obtenu du gouvernement l'accord de flexibilité, veut imposer aux salariés le travail le dimanche. »

Depuis notre précédent billet, les fresques de la rue Ordener (XVIIIème) ont été soit modifiées, soit recouvertes par de nouvelles, à deux reprises. Les photos, ci-dessous, ont été prises à la fin du mois de mai. La semaine prochaine, je publierai celles du mois de juillet...

J'ai eu la chance de voir mercredi dernier l'exposition IN SITU au Fort d'Aubervilliers, près du cirque Zingaro. A priori, sauf modification inconnue de nos services, il ne reste plus que samedi 26 et dimanche 27 juillet pour la visiter...

En guise d'introduction à ce billet coup de gueule, je rappelle quelques chiffres :

C'est l'été, les radios diffusent leurs tubes. Et les blogs également grâce au blogueur lolobobo qui a lancé #radiodesblogueurs, la radio des blogueurs, une chaîne de blogs.

Et de préférence au poing levé ! Hé oui, encore un article sur le travail dominical ! Mais pas seulement...

Un peu de street art avec l'artiste qui se cache sous le nom de Codex Urbanus, décidément inspiré. A noter dans cette nouvelle série, trois images qui sortent de la production habituelle. Cliquez dessus pour découvrir la prose de l'auteur...

« Les autorités et les marchands règlent peut-être nos misérables jours, mais ce sont les montagnes et la mer qui règnent sur nos vies. Elles sont notre destin, tout du moins c'est ainsi que nous pensons parfois, et c'est évidemment aussi ce que tu ressentirais si tu tétais réveillé et endormi des dizaines d'années durant au pied de ces mêmes montagnes, si ta poitrine s’était élevée et affaissée a rythme du souffle de la mer sur nos barques fragiles. »

Je ne pensais pas revenir de sitôt... Le 14 juillet me fait sortir de ma pause estival.