un doigt d'honneur pour Nadine Morano ?
"Pour les fêtes, Ruminances propose un concours inédit intitulé “Les doigts d'honneur” en partenariat avec le docte institut de sondages IFLOP et lance pour la circonstance une consultation auprès de ses lecteurs en leur posant une question et une seule. Quel est pour eux l'ultime boulet de la Sarkozie ?"(Source Ruminances)
Excellente idée que voilà !
En 2008, si le doigt d'honneur avait existé, nous aurions voté pour Daniel Bouton de la Société générale, plus efficace à gérer ses finances personnelles que celles de sa banque !
Seulement cette année, à la réflexion, le choix est plus que difficile. D'ailleurs, on se demande si les membres de la sarkozie ne se sont pas lancés, eux-mêmes, le défit de dépasser à la moindre occasion toutes les bornes ?
Lefebvre, Estrosi, Darcos, Hortefeux, Besson, Amara, Yade, Dati, Kouchner ?
Bien-sûr !
Tu la sens la droite décomplexée ?
Mais puisqu'il n'en faut qu'un, ce sera une ! Nadine Morano, dit la murène.
Morano parce que nous ne sommes pas sexistes pour deux sous !
Elle est la preuve vivante qu'une femme peut être aussi, voire plus forte qu'un homme !
La sarkozie est son milieu naturel : elle fonce et s'exprime avant de réfléchir, elle a des idées sur tout, surtout sur l'identité nationale et le port de la casquette, elle ne s'embarrasse pas non plus de détails et d'arguties...
Enfin, comme le rappelle Reversus, Morano fait preuve d'une certaine constance dans son genre... C'est quasiment une survivante !
Un genre qui, d'ailleurs, ne nous avait pas échappé aux municipales perdues de Toul, puisqu'elle nous rappelait la fameuse Mère Ubu. Elle avait même échappé à un odieux chantage !
Nadine est une survivor !
Elle mérite son doigt d'honneur !
©2009 des pas perdus. All Rights Reserved.
Mouais...
Je suis géné par ce truc. Je trouve tellement la gauche 'officielle' en face tellement nulle, minable, risible, et pas franchement plus noble et honorable (Frêche, la manière de traiter Dray, Royal, etc...), que je pense qu'on pourrait offrir les doigts de l'autre main à cette gauche...
C'est ça qui me dérange. on fracasse le camp d'en face, en omettant pas de fermer les yeux sur son camp. Mouais, j'aime pas...
Je préfère vos (nos) Nicolas d'or. Comme ça on arrose tout le monde !
Passe une bonne fin d'année, copain de ouèbe !
Je te le concède. N'ayant guère d'inspiration, j'ai profité de ce "prix"... Une plaisanterie de potache. Ça ne va pas plus loin. D'ailleurs, je me suis moi-même étonné qu'il n'y ait que des politiciens de droite.
Merci pour le relai ! Quant à l'exclu des politiciens de droite, ce sont les boulets de la Sarkozie, ce sont ceux qui sont au pouvoir... Et puis Besson et Kouchner, ils sont de droite ? Je plaisante...
Falcon, tu te répètes...
Au moment où tous les médias se gaussent du doigt cassé de Besancenot qui était allé manifester (où étaient les autres gens de gauche ?) devant l'assemblée pour protester contre la privatisation rampante de la poste (qui est passée malgré la votation citoyenne, malgré les manifestations...), alors oui je veux bien m'associer à ce doigt d'honneur.
c'est bon parfois de sa lâcher et d'être partial, certes la gauche a ses boulets comme il en existe partout ailleurs, mais Morano, dans le genre "ménade", elle se pose là.
Oui Agnès, les autres n'avaient sans doute pas besoin d'une belle image...
B.mode: je ne m'étais pas senti le courage de répondre au questionnaire des Nicolas d'or, tandis que là, ç me paraissait à la fois plus ludique et surtout plus rapide.
Patrick : le terme est juste pour la qualifier.
Ludique, tel est exactement le terme... Rien de plus ! en cette fin d'année difficile...
Une petite illustration chez Chimulus
:-)
S'il ne nous reste plus que ça, alors +1 ... mais bon je pensais qu'une révolution était encore possible.
b. mode : Oui, il vaut mieux parfois en rire...
Marie laure : merci, ce dessin illustre combien Morano a élevé le débat...
Dr No : il nous reste la révolution, peut-être par les urnes ?
Me permettras tu cher pas perdus d'utiliser tes lignes pour la "remise des prix" le 1er janvier .
b.mode : comme tu veux... Je sens mes chevilles qui enflent !