A priori, le congrès de Reims est déjà un échec. Comme le constate Rébus, la guerre des courants bat son plein, avec en perspective d'improbables attelages pour barrer la route à S. Royal, et des pratiques politiciennes d'un autre temps qui rendent même sympathique l'ex candidate socialiste à l'élection présidentielle !
D'ailleurs, ce constat était bien prévisible avec l'affrontement de trois motions, idéologiquement très très proches et de forces similaires.