dimanche 30 septembre 2007
Entries list
samedi 22 septembre 2007
fermeture le dimanche
Pigalle
vendredi 21 septembre 2007
heureux avec la droite ?
près de la place clichy
mardi 18 septembre 2007
lacérée
lundi 17 septembre 2007
ceci n'est pas une pub pour la vache qui rit
dimanche 16 septembre 2007
le cri...
rien à voir avec Munch
fermeture le dimanche
à Bruxelles
vendredi 14 septembre 2007
anonyme
(à Bruxelles)
mercredi 12 septembre 2007
aucun rapport avec l'abandon de la carte scolaire...
(à Clermont)
mardi 11 septembre 2007
la fille coupée en deux
En voyant cette affiche de Miss.Tic, nos pas remarquent que le ciné a quelque peu déserté ces lieux. Alors, voici deux films à voir, si cela est possible. "La fille coupée en deux" est un beau film de Chabrol avec des personnages complexes, la bourgeoisie décadente, de beaux décors, de bons comédiens, et une fin tragique... Classique.
Autre genre : "Interview" de Steve Buscemi qui nous plonge dans un huit-clos passionnant entre un journaliste largué et une actrice de second plan.
lundi 10 septembre 2007
la déchirure
dimanche 9 septembre 2007
Que notre règne arrive de J. G. Ballard
La dernière livraison de James G. Ballard est passionnante. Le narrateur aussi bien largué dans sa vie sentimentale que dans sa vie professionnelle fait une visite post-mortem. Son père a été tué par un fou dans l'hypermarché du coin. Le meurtrier a été vite reconnu et maîtrisé par la police. Le jugement semble une formalité, or des notables du coin le disculpent. Le fils qui ne remet pas en cause les divers témoignages ni la décision de justice, va investir l'appartement paternel et devoir rester plus longtemps que prévu.
Comme dans la plupart de ses romans, l'auteur décrit avec précision le milieu dans il immerge son héros. Ici, il s'agit d'une morne cité dans la banlieue de Londres, en bordure d'autoroute, qui se transforme au fur et à mesure du développement de la zone commerciale, le Métro-Centre. Ballard décrit une société consumériste où la population gavée de produits et de télé s'ennuie à mourir dans le confort et ne trouve des raisons de vivre qu'en se condamnant à consommer.
Le Métro-centre possède ses propres chaines de télévision. Son influence sur la population est considérable. Il régit quasiment la vie de la cité, crée des conflits entre clubs sportifs et supporters. Les soirées des fins de matchs se terminent dans la violence nationaliste et "anti-autorité". Violence paranoïaque contre les étrangers, ou supposés, commises par des gens déboussolés et frustrés de ne pas pouvoir consommer autant qu'ils le souhaiteraient, et pour certains rejetant sur les "autres" la responsabilité de leur chômage. Violence anti-institutionnelle contre les symboles de l'ordre social ancien : mairie, hôpitaux ou écoles...
La vraie vie est au Métro-centre. Les gens ne vivent que pour consommer. Au cours de son enquête, le narrateur découvre qu'un nouvel ordre social s'installe dans ces zones reléguées de banlieue : le consumérisme. Pour la petite histoire, sachez seulement qu'il sera engagé au Métro-Centre dont l'expansion et l'influence grandiront encore au point de d'inquiéter sérieusement les autorités du pays... A lire...
fermeture le dimanche
vendredi 7 septembre 2007
après la pluie
jeudi 6 septembre 2007
clonage homme - animal autorisé en Angleterre
quand recherche médicale et guerre économique font bon ménage...
mercredi 5 septembre 2007
un volet en zinc
vices privés, vertus publiques *
mardi 4 septembre 2007
au doigt et à l'oeil
lundi 3 septembre 2007
La coupe du monde de rugby, du crétinisme et du fric
Qu'elle est loin l'époque héroïque de Roger Couderc. Le rugby était encore plus ou moins un sport amateur. Les matchs se déroulaient le samedi après-midi, en direct. A la mi-temps, les joueurs restaient sur la pelouse...Tout cela avait un côté humain. Il n'y avait même pas de spots publicitaires pour polluer notre plaisir. Il faut préciser pour les jeunes internautes que le secteur privé n'avait pas vampirisé le petit écran au point d'imposer une rallonge d'une bonne dizaine de minutes à la mi-temps. C'était le temps où ce sport se jouait à quinze et les joueurs, d'un point de vue physique, ne ressemblaient pas à des bodybuilders survitaminés (pléonasme sans doute...). Le père Roger, ex soixante-huitard, encourageait ses "petits", certes de façon outrancière mais cela restait bon enfant et empreint de sincérité...
samedi 1 septembre 2007