novembre 2015

La fameuse COP21 dont on nous rabat les oreilles depuis des mois a enfin commencé !

Je voulais intituler f... le présent billet pour ne pas me retrouver sur une fiche S.

S... comme suspect, salaud, soporifique, sodomite, sorcier ou socialiste, hein ?

Un classique pour ce samedi, le mur de la rue Ordener dont les fresques changent régulièrement.

« je considère que le pacte de sécurité l’emporte sur le pacte de stabilité »

On peut faire ses études à l'école libre de Sciences Fascismes après le baccalauréat, après une licence, un master, ou pour y préparer un concours ou une agression, un livre ou un attentat.

Je ne suis pas spécialiste en matière de sécurité, malgré tout je m'interroge quant à la pertinence d'un état d'urgence dont la durée a été portée à 3 mois, et plus encore quant à la modification de la Constitution.

Le retour...
Il se fait rare à Paris en 2015...

Incapable d'écrire un billet sur la boucherie de vendredi 13 novembre 2015.

Petite pause dominicale, l'occasion de découvrir le travail exceptionnel de Lou, un jeune photographe prometteur, qui exerce ses talents sur le blog Libellus.

En France, le mois de novembre est particulièrement doux.

Le premier ministre de la France a soutenu que les listes PS et LR devraient fusionner aux régionales pour faire barrage au Front national.

« C'est un anéantissement comme en cellule... La patrie ?... La civilisation ?... La guerre ?... Qu'est-ce que cela ?... Il n'y a rien que ce trou... Il n'y a plus rien qu'à attendre la mort dans ce trou... »

Selon une idée bien répandue, l'entrée en vigueur de la loi Marcron concrétise le slogan sarkoziste :

« travailler plus pour gagner plus. »

Au détours d'une rue pavée et pentue de la butte aux cailles, j'ai croisé toute une ribambelle de chats. Ou plutôt de représentations de chats. Comme ces bestioles passent la majeure partie de leur temps à dormir, je les soupçonne d'en profiter pour rêver, s'imaginant être Superman, Caliméro, Sherlock Holmes, Bobbie et bien d'autres personnages, le temps d'un songe...

« il avait observé qu'un syndicat ouvrier permettait à un tas d'officiels de vivre du travail des véritables ouvriers. Ces officiels devenaient eux-mêmes une classe, leur pouvoir une sorte d'investiture, et c'était d'eux-mêmes qu'ils s'occupaient et non du travail. Ils devaient naturellement justifier leur propre existence, aussi étaient-ils amenés à faire naître chez les travailleurs un mécontentement dont autrement ceux-ci ne se seraient pas avisés. »

Pas vraiment envie de bloguer. D'ailleurs, on ne devrait jamais revenir, mais je ne suis pas à une contradiction près.