juin 2015

Jusqu'aux négociations entre le gouvernement Tsipras et la Troïka, je pensais naïvement qu'une autre UE était possible.

Paris 2016. De notre envoyé spécial.

J'étais parti pour publier ces images de Street art de la rue d'Alsace avec une seule phrase introductive, mais les événements m'incitent à commenter la décision du gouvernement Syriza de consulter son peuple face au nouveau chantage de la Troïka qui traite la Grèce comme une colonie et se contrefiche de la crise humanitaire qui frappe les grecs.

Une troïka à laquelle j'associe tous les pays membres de l'Union européenne. Voici le communiqué de Tsipras :

« Nous avons livré un combat dans des conditions d’asphyxie financière inouïes pour aboutir à un accord viable qui mènerait à terme le mandat que nous avons reçu du peuple. »

Les négociations entre la Grèce et la Troïka échouent malgré la bonne volonté du premier ministre Alexis Tsipras.

« En descendant l’escalier, elle se surprit à vouloir augmenter le jeune homme. Un deux-pièces aussi ordinaire, dans un quartier trop excentré, voilà tout ce que l’élite du pays pouvait s’offrir ? Il méritait quand même mieux. A son poste, il devait émarger à cinq mille euros mensuels. Il y avait vingt ans, ça lui aurait paru indécent. On finissait par s’habituer à l’argent. »

« Le mandat que nous avons reçu du peuple grec est clair sans aucune ambiguïté. C’est un ordre : mettre fin à la politique d’austérité qui, appliquée pendant cinq ans, a augmenté les inégalités sociales. »

Cette semaine, le premier ministre n'a pas pris le risque de soumettre la loi Macron au vote de l'assemblée nationale, démontrant ainsi la fragilité de sa majorité socialiste, et la faiblesse de ses arguments. Mais surtout, l'utilisation du 49-3 montre combien l'austérité a du mal à passer...

A la veille de la fête de la musique, quelques images prises à Paris pour illustrer combien la musique inspire les artistes de Street Art.

... à l'usage des candidats du Bac et des incultes !

A l'instar de l'ami Partageux, j'apporte ma contribution à la radio de l'été des blogueurs initiée par Lolobobo.

Décidément, chacune des dispositions de la loi Macron permet de mesurer combien le parti dit socialiste est devenu le laquais du patronat.

J'aimerai avoir le cerveau de Messieurs Valls, Hollande ou Sarkozy pour affirmer une chose et accomplir immédiatement son contraire.

« Roy avait déjà vu des hommes arracher avec leurs dents les capsules des bouteilles, mais il préférait ne pas essayer. Skip Ryan avait perdu de cette manière une partie de ses dents de devant, sur le côté droit. Désormais, il était capable de cracher à vingt mètres de distance.»

La politique est d'un ennui en France.

Ce week-end, le parti socialiste est en congrès à Poitiers.

Berceuse, c'est un pochoir décliné en diverses versions et des textes qui empêcheraient plutôt les petits et les grands de dormir...

L'UMP devient Les Républicains ?

Près de 5 mois après leur dernière interview exclusive, le président Ubullande et quelques ministres ont accordé un entretien dont voici la retranscription.