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mardi 21 octobre 2014

Human punk (John King)

« Nous, on n’attend qu’une chose, c’est l’été prochain, pour faire pareil, peut-être entrer en apprentissage, choisir un métier. Là, il ne sera plus question de sécher, il faudra pointer à l’heure, se plier aux ordres d’un quelconque vieux con armé d’un carnet, mais peu importe. On veut gagner correctement notre vie, pour pouvoir nous payer tous les disques qu’on veut et aller dans tous les endroits qu’on connaît seulement pour avoir lu leurs noms dans le NME et Sounds, et fréquenter le Vortex ou le Roxy à Londres, emmener les nanas au ciné et boire un verre, au lieu de devoir escalader la gouttière de l’Odéon, comme toujours. »

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jeudi 16 octobre 2014

Dans l'engrenage austéritaire

Ces derniers jours, Monsieur Valls montre les muscles après les remarques et les recommandations de la commission de Bruxelles sur le projet de la loi de finances :

« C'est nous qui décidons du budget. Ce que nous demandons uniquement aux Européens, c'est de tenir compte de la réalité qui s'impose malheureusement à nous : la crise qui mine la zone euro. »

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mardi 14 octobre 2014

Ils sont partout

Evidemment, le titre n'est pas de moi, mais de FAKIR. Dans le genre provocation, on peut difficilement trouver mieux pour évoquer celles et ceux qui sont les oubliés des médias, des cultureux à l'affiche et des politiciens ultra-libéraux, sauf pour leur casser du sucre sur le dos.

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mercredi 8 octobre 2014

Le bel avenir de l'Etat-providence (Eloi Laurent)

« Les exigences que l’on oppose à la protection sociale respirent le sérieux économique : « compétitivité », « attractivité »... Mais sait-on que personne, dans la communauté académique, n’est capable d’en donner une définition précise ou d’en proposer une mesure qui tienne la route ? La fraude colossale encouragée par un système social dispendieux fait des ravages, on le sait. On ne sait rien de tel : les fraudeurs qui empêchent de dormir les moralistes économiques sont, en France, quantité négligeable. Ils coûtent 0,1 % de son budget à l’assurance chômage, dix fois moins à la branche famille, cent fois moins aux branches retraite et maladie. Quant à l’immorale dette sociale que nous accumulerions sur le dos de nos enfants, elle ne raconte, comme la dette publique, que la moitié de l’histoire : pour prix du passif des régimes sociaux, au demeurant très sensibles à la conjoncture, nous gagnons la sécurité économique et le progrès social, rien que cela. »

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mercredi 1 octobre 2014

Hollande, mensonges et trahisons

J'ai un immense dégoût pour ceux qui sont actuellement au pouvoir, autant pour la droite, le centre et l'extrême droite. Un REJET TOTAL de cette classe politique non exemplaire, vendue au MEDEF et à la finance qui se moque du peuple comme de l'an 40.

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