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vendredi 4 février 2011

la «vraie gauche»

Hier soir sur twitter, le kremlinologue bicêtrois number one des blogs a ironisé sur la «vraie gauche», reprochant au Front de gauche de taper sur le PS...

On ne goûte guère l'expression «vraie gauche» parce qu'elle renvoie à la notion de vérité, étant entendu que celui qui l'écrit ou la prononce est sûr et certain de la détenir, et du même coup induit que ceux qui ne partagent pas ses engagements, sont dans l'erreur et propagent des mensonges. Enfin, elle a toute l'apparence d'un jugement sans appel qui n'incite pas à dialoguer sereinement. Une expression foutoir à l'instar de populisme.

La gauche est multiple : les anarchistes, les différentes fractions trotskistes, les communistes, les maoïstes, les staliniens, les anticapitalistes, les socialistes, les républicains de gauche, les sociaux-démocrates, les écologistes...

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lundi 10 mai 2010

Dans l'U.E. pas de pitié pour les gueux !

Comme d'habitude, la Pravda les médias dominants ont fait preuve d'objectivité en saluant unanimement le plan de stabilisation de la zone euro...N'est-ce pas rassurant bonnes gens ?

Le navire de l'Union européenne tangue dangereusement, et avec lui toute la finance internationale dérégulée, au point de faire sortir Obama de sa réserve...

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lundi 3 mai 2010

une tragédie grecque

Depuis ce week-end, les médias dominants ne cessent de gloser sur les fameux 120 milliards d'euros destinés à sauver la Grèce. En découvrant les contreparties imposées au peuple grec par l'Union européenne et le FMI, nous revient ce fameux proverbe populaire :

«avec des amis comme ça pas besoin d'avoir d'ennemis»

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mardi 15 avril 2008

la gauche européenne est un champ de ruines

PS.jpgPendant la campagne présidentielle, le PS et le futur MoDem faisaient l'éloge de la gauche centriste italienne au pouvoir.

Romano Prodi était l'exemple à suivre. Bizarrement, nos amis transalpins ont élu la droite des Berlusconi, Bossi et Fini. Etrange, non, cette défaite cuisante d'un modèle qu'il fallait reproduire en France ?

Est-ce que la défaite a été provoquée parce que Prodi a mené une politique de réformes néo-libérales digne d'un Sarkozy ? Qu'il a brouillé la distinction entre la droite et la gauche, mis à part sur des questions sociétales et humanitaires ? Qu'il a aussi été incapable de résoudre la crise napolitaine des déchets ? Qu'il ne disposait pas également d'une majorité stable ?

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